Alec McArchty - We're a family pulled from a flood

ARTHUR WRIGHT - POSTE REMIS EN JEU, MAIS ARTHUR FOREVER OKAY? J'étais la victime, et toi le policier. Le chevalier en uniforme. Tu devais t'assurer de ma sécurité. Mais lentment, nous avons succombé aux sirènes du personnel pour laisser de côté le professionnel. Sans nous en rendre compte, nous sommes devenus amis. Je pouvais lire dans ton regard la sincérité de tes questions, de ton inquiétude. Je comptais pour toi, et tu comptais pour moi. Te faire paniquer en déscendant manger un fish and chips me faisait rire. Me perdre dans l'océan de tes yeux - aussi cliché que cela puisse sembler - pendant que tu me racontais ton enfance me donnait soif de plus encore. Mais j'étais aveugle. Toi aussi. Un jour, tu laissa ta garde tomber, et me révéla des choses sur l'enquête qui plongerait nos vies dans le chaos. Je décidai plus tard de déménager en Oregon. Pourquoi ? Tu ne le savais pas. J'avais prétexté que c'était pour les études. Mais quand tu as débarqué chez moi pour me hurler dessus, tu n'étais pas dupe. Je le voyais, et ça m'inquiétait. Quand tes lèvres ont finalement rencontrées les miennes, j'ai cru mourir une deuxième fois. Le choc peut-être ? La surprise sûrement ? Et puis tu t'es enfui, comme un lâche. Plus de nouvelle. Peut-être en attendais-tu de moi ? Alors je suis parti, comme prévu. Et à peine un mois plus tard, je te trouvai là... Prêt à veiller sur moi. Le monde tourbillonne à présent. ◊ ️ icon: ici

ELIJAH HOLTZ - Nous nous sommes rencontrés à l’école privée, en Allemagne, où nos parents croyaient bon de nous envoyer. Et malgré nos quelques quatre années et des poussières de différence, nous nous sommes très vite bien entendus. Tu es devenu mon meilleur ami et mon confident, malgré ton sale caractère parfois. Tu savais que j’aimais les hommes, mais tu ignorais que c’était toi, que j’aimais en secret. Je compris un jour pourquoi tu ne voulais pas que je rencontre ton père. Il m’aurait détesté. Il ne montrait déjà pas très bien son amour avec toi, comme je l’ai un jour découvert alors que ta chemise se levait malgré toi. Et puis soudain, plus de trace. Ta mère ne me répondait pas. Tu avais disparu de ma vie et d’Allemagne – je crois. Ta famille devait me juger en partie responsable pour ce que tu as fait – je l’ignore – puisque quelques années plus tard, elle commanditât notre assassinat, à ma famille et moi. Mon père devait se rapprocher de vos secrets de famille et je devais avoir une mauvaise influence sur toi. Sauf que j’en réchappai. Aujourd’hui, je me fais appeler Lary Powell, mais je sais où tu es, et quels sont les secrets de ta famille. J’ai menti pour venir te réclamer justice, pour te dire ma colère. Mais je ne m’attendais pas à te trouver heureux, et certainement pas à ce que mes sentiments pour toi soient toujours aussi forts. Alors j’essaie de trouver ma place, dans ce foutoir qu’est notre vie. Malgré tout, nous sommes irrémédiablement liés. ◊ ️ icon: ici

TEDDY SCOTT Quelle ne fut pas ma surprise quand je découvris que non seulement Elijah allait bien, qu’il était heureux, mais qu’il était en plus en couple avec toi. Mes vieux sentiments s’étant réveillés, je cherche ma place dans votre couple sans parvenir à la trouver. Je ne souhaite pas détruire ce qui vous unit, mais la veux, ma place de meilleur ami ! Elle m’appartenait, et elle m’a été volée par la vie. Du jour au lendemain, brutalement, sans que je ne puisse y faire ou dire quoique ce soit. Alors je te hais, naturellement. Tu ne seras jamais suffisamment bien pour lui. Personne ne pourrait l’être. Et puis un jour, tu comprends, un jour je comprends. Tu as l’air d’être quelqu’un de bien, finalement. De très bien pour lui, même. Peut-être deviendrons-nous amis… ◊ ️ icon: ici

LUCAS CLARKE, ARTSY FRIENDS À vrai dire, je ne sais pas si j’avais vraiment le droit d’être là. Je ne sais même pas comment j’ai su que vous jouiez cette pièce de théâtre. Était-ce une répétition publique ? Une représentation peut-être ? C’était plus fort que moi. Nous travaillons sur la pièce dans mon cours et je mourrais d’envie de la voir jouée. Je me suis glissé dans la salle ; nous n’étions pas nombreux pour tout dire. Et je t’ai vu : tu jouais mon personnage préféré. Je ne sais quelle force m’a poussé à venir te parler. Et nous avons discuté pendant des heures. D’art, surtout, mais aussi de la vie, et de toutes ces choses qui nous y raccrochent. Je t’ai trouvé drôlement intéressant, touchant - tant dans ton jeu d’acteur que de par ta personnalité. Et nous sommes devenus amis. Je n’aurais pu demander mieux ! Il faut parfois pousser la porte d’un théâtre pour rencontrer les meilleures personnes. ◊ ️ icon: ici

NOREEN J. MACKALLAN, SURVIVORS On ne se connaissait pas. Rien n’indiquait qu’on puisse un jour se retrouver aussi proche. Rien ne pouvait prévoir une telle tempête, un tel désastre. Personne n’aurait pu prévoir ces longues journées à l’hôpital. Nous avons vécu l’horreur, sans doute le pire, et nous nous en sommes sortis ! Tout ce que je souhaite retenir de cette fin de journée atroce, c’est que nous nous sommes sauvé la vie. Nous nous sommes serrés les coudes pendant et après. Tu m’as rendu le sourire quand je voulais me laisser mourir. T’es un peu devenu la petite sœur que je n’ai pas eue. Merci d’exister, petit rayon de soleil.
◊ ️ icon: thejariana

SARAH GRAHAM, MY DANGEROUS FRIEND a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ça m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi ◊ ️ icon: ici

GRAZIELLA SPERANZA Je ne pensais pas un jour te rencontrer lorsque j’ai décidé de poster anonymement – merci le programme de protection des témoins – sur ta chaîne Youtube. Mais je n’ai pas pu m’en empêcher. Tu avais une voix envoutante et une présence incroyable. Je me devais de te le faire savoir. Le monde est suffisamment dure et brutale pour qu’on refreine nos compliments lorsqu’ils sont pensés, n’est-ce pas ? L’histoire aurait pu s’arrêter là, mais un jour, je t’ai vue. Tu étais jolie, assise en tailleur, et tu ne te préoccupais pas du monde qui t’entourait. Je ne sais pas ce qui m’a poussé à venir te parler en personne. Peut-être tes textes, qui m’ont parlé. Je ne sais pas. Mais je ne regrette pas. Même si tu es très curieuse. Peut-être un peu trop au goût des autorités qui sont en charge de ma protection. Oh, bien sûr, je ne leur dis rien. Mais j’ai de plus en plus de mal à me dérober à ton regard indiscret et tes questions aussi franches qu’incisives. Notre amitié pourrait peut-être nous causer du tort, si nous ne faisons pas tous les deux très attention. ◊ ️ icon: ici

CLYDE BUCHANAN, PETIT CON ... ◊ ️ icon: ici

JAMIE CAMPBELL BOWER, MON AMOUR a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ca m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi ◊ ️ icon: ici

JAMIE CAMPBELL BOWER, MON AMOUR a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ca m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi ◊ ️ icon: ici

JAMIE CAMPBELL BOWER, MON AMOUR a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ca m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi ◊ ️ icon: ici

JAMIE CAMPBELL BOWER, MON AMOUR a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ca m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi ◊ ️ icon: ici