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Les autres ils veulent la guerre, tu la voudras aussi (Fynn)

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Mar 11 Sep - 1:03
Eddie Abolick
Creativity takes courage.
Eddie Abolick
Messages : 457
Localisation : un agent secret ne révèle jamais sa position...
Emploi/loisirs : policière & modèle à blackwell
Humeur : j'suis toute fifou, alors attention à vos miches !

Journal perso
Ardoise (dortoirs):

Les autres ils veulent la guerre, tu la voudras aussi.
Nous étions ouverts tout le week-end, car le dimanche aussi les habitants pouvaient avoir besoin d'un peu tout et n'importe quoi. Puis surtout, car les affaires de la mafia n'avaient pas d'heures ni de jour pour avoir lieu. Le dimanche la ville était calme mais les affaires continuaient dans l'ombre. L'un de mes frères "tenait" la boutique avec moi ce jour-là. Il devait faire l'inventaire de nos produits, vérifier les prix et s'occuper d'une commande "spéciale" tout droit venue d'Italie. Ce qui signifiait que je devais lui dire si j'entendais quelqu'un arriver à l'arrière boutique ou si un italien passait par l'entrée alors que mon frère, lui, était partiellement absent. C'est ce que font la plupart des femmes dans ce milieu. Elles attendent, observent, et se taisent. Je me mis donc en caisse, attendant que les clients ou bien notre invité si spécial se pointe. Je me mis à sourire en voyant quelqu'un entrer, et le saluais. Mon frère observa un instant le nouvel arrivant avant de me regarder, puis d'aller en arrière boutique. Des fois, il tentait de me faire passer des messages, mais je ne savais pas exactement ce qu'ils signifiaient. Puis le client vint me voir pour me demander un renseignement. Je le conseillais sur un produit en particulier, il me remercia, puis revint vers moi pour le payer. J'encaissais son argent et il repartit avec son article, en me saluant. Je fis de même avant d'entendre un bruit étrange à l'arrière boutique. Au même moment, je vis quelqu'un entrer. Je le saluais également, avec un sourire. Il me semblait qu'on avait cours ensemble. J'attendis quelques secondes.

Le voyant hésiter et prendre son temps sur ce qu'il voulait acheter, j'en profitais pour m'absenter en allant voir ce qu'il se passait dans l'arrière boutique. J'entendis alors des insultes dites en italien, de la part de mon frère, vers l'homme qu'il attendait, sûrement. L'homme montra un objet à mon frère, et mon frère continua de se disputer avec lui, en lui disant que c'était une honte, qu'il ne paierait pas pour cette livraison, car ce n'était pas ce qui avait été demandé. En écoutant un peu plus précisément, je compris qu'il y avait en jeu un animal d'un clan italien installé en Amérique. Je compris alors ce que ma famille comptait faire, et la nausée me prit aussitôt. Je me précipitais alors vers un carton vide pour y vomir. Les deux hommes me fixèrent alors, et mon frère se mit à me prendre par le bras pour me dire de retourner à la caisse faire mon travail et de ne pas m'immiscer dans les affaires familiales. Je pris un beau d'eau au lavabo de l'arrière boutique, dans les toilettes des employés, et je recrachais le tout, pour faire passer le goût infâme. Je retournais alors vers la caisse, une main posée sur le ventre, en grimaçant. Je ne savais pas de quelle famille mon père voulait se venger ou de quel animal il était question, mais j'étais écoeurée. Un autre client vint alors à la caisse en se plaignant de l'attente. « C'est pas trop tôt ! J'ai failli partir avec les articles, vous avez de la chance... » Je regardais le type, âgé de la trentaine, qui me dévisagea d'un air dégoûté, avant de regarder sans gêne ma poitrine.

Je pris son article et lui demandais la somme alors, sans même lui répondre. Il me tendit un billet. « Garde la monnaie... C'est pour les intérêts. J'reviendrais un soir, t'en fais pas. On se reverra. » Ecoeurée d'autant plus, je me retins de vomir une nouvelle fois, n'ayant même pas le temps de me défendre. J'imprimais bien sa tête dans ma tête avant de sortir une feuille et un crayon à papier pour commencer à dessiner son visage au mieux, dessus. « VA FA ENCULO ! » La voix venait de l'arrière boutique, mais un client entra au même moment. Je fixais l'arrière boutique avec des yeux ronds. Ce n'était pas la voix de mon frère, et bien que le nouveau client n'avait rien entendu, je le dévisageai malgré moi. « Ah ben bravo l'accueil ! Dites-le si je vous emmerde surtout ! Putain, les femmes de nos jours... » Il prit alors une boîte de capotes et la balança sur le comptoir. Je savais que c'était interdit, mais je sortis alors un couteau de sous la caisse, suffisamment pour que le type le voit. « Tu vas t'excuser, laisser la boîte sur le comptoir et partir de la boutique. Si je te revois un jour, tu n'auras plus jamais besoin d'utiliser ce que tu as entre les jambes. » L'homme me regarda en prenant peur, et partit de la boutique. Je pris la boîte de capotes et allait la remettre à sa place. Le garçon de ma classe était toujours là. Je tremblotais un peu, ne pouvant voir ce qui se déroulait dans l'arrière boutique, et car je faisais face à une belle bande de gros cons depuis quelques minutes... « Tu recherches quelque chose en particulier ? Je peux t'aider si tu veux. »



( Pando )
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Jeu 27 Sep - 10:02
Invité
Invité
Anonymous
Pour être franc, d'habitude le week-end j'aime pas sortir mais là j’avais pas tellement le choix. Non seulement il me restait presque plus de potion magique mais j’avais deux trois petites choses à racheter en plus. Alors, pour ne pas m’embêter, je décidais d’aller à une épicerie pas trop loin de Blackwell. Il me semblait d’ailleurs qu’une camarade de classe y travaillait, ce qui motivait d’autant plus mon choix. En effet, une fois arrivé devant l’épicerie et franchi le pas de la porte, la jeune femme m’accueillit avec un large sourire que je lui rendis volontiers.

Bien sûr, je n’avais pas fait de liste, ce qui ne facilitait pas le processus. Du coup, contre mon gré, j’étais obligé de voguer de rayons en rayons, bien qu’il n’y en ai pas beaucoup. Ma camarade, elle, s’éclipsa, probablement car elle voyait que je ne savais pas exactement ce que je cherchais. Elle revint enfin pour encaisser un client plutôt dégueulasse. Ce petit con usait non seulement de méchanceté mais  aussi de sous-entendus. Alors qu’il marchait pour rejoindre la sortie, je le suivais du regard d’un air dégoûte et méprisant. Après tout, je pense que le dimanche est pas le bon jour pour faire des emplettes… Tous les gens chiants, acariâtres et aigris se sortent de leur lit et vont acheter quelques trucs tout en propageant des mauvaises ondes à cause de leur personnalité imbuvable. Cette tendance se confirma alors qu’un autre client peut délicat et misogyne ouvrit sa bouche. Un peu trop peut-être ceci dit car interpellé par ses paroles, je tendais l’oreille.

La pauvre caissière dut alors complètement débloquer car elle le menaça. Je jetais alors un coup d’œil et je vis un couteau dans ses mains. Pris de court je ne savais pas comment réagir. Intervenir ? Laisser les choses se faire ? Quoi qu’il en soit le client eu une grosse frayeur et prit les jambes à son coup tandis que de mon côté le fait que ce bout de femme ait réussi à faire déguerpir ce connard était à la fois une bouffée d’air frais mais aussi une petite dose d’adrénaline. Je me remis à rechercher ce dont j’avais besoin alors que sa voix retentit. Elle me proposait un coup de main pour trouver tout ce que je cherche. Je me rapprochais alors de la caisse. J’essayais d’être silencieux au cas où un client un peu trop curieux voudrait écouter notre échange.

« Salut toi. Pour l’aide t’en fais pas, mais toi ça va ? T’as l’air au bout du rouleau ! ». Je levais les yeux au ciel pour réfléchir avant de continuer « Il est vrai que t’es pas non plus tombé sur des amours niveau clients. On était plus proches du cliché parfait des beaufs : misogynes, pas très poétiques, grande gueule et désagréables. ». Je la laissais respirer quelques instants. « Dis-moi si tu veux que je fasse quoi que ce soit pour toi, t’as l’air vraiment déboussolée…. ». Je la regardais alors d’un air magnanime en essayant de garder en tête ma liste de course plus ou moins exacte. « Moi c’est Fynn, au cas où tu aurais oublié. Si c’est le cas je t’en voudrai pas ! Les prénoms des gens sont plus durs à retenir que leur visage n’est-ce-pas ? ». Je lui souriais alors, pour la distraire et lui apporter un petit peu de positivité dans une journée pourtant pas très joyeuse en apparence pour elle.

En y pensant bien, je me trouvais plutôt calme aujourd'hui. C'est vrai, ça aurait été un autre jour peut-être que voir ces événements m'aurait donné envie de coller mon poing dans le visage d'un de ces gros cons ou mon pied dans leurs rotules histoire de les voir repartir à genoux ou le nez pété en implorant la fille qu'ils ont dégoûté de les aider.
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Dim 30 Sep - 2:57
Eddie Abolick
Creativity takes courage.
Eddie Abolick
Messages : 457
Localisation : un agent secret ne révèle jamais sa position...
Emploi/loisirs : policière & modèle à blackwell
Humeur : j'suis toute fifou, alors attention à vos miches !

Journal perso
Ardoise (dortoirs):
Voir quelqu'un de mon âge, un garçon qui plus est, qui n'était pas un pervers, un gros alcoolique encore ivre de la veille ou même un client grossier me fit un bien fou, malgré ce qui était en train de se dérouler. Je ne pus qu'adresser un sourire sincère à mon interlocuteur. Je remarquais qu'il ne parlait pas trop fort, je tentais un regard vers l'intérieur de l'épicerie, et supposais qu'il ne voulait pas attirer l'attention, au cas où. Je devais être la seule au courant, pour l'arrière boutique. Il devait en rester ainsi de toutes façons. Il était vraiment gentil, me demandant si moi, j'allais bien. Je ne pouvais cependant pas être sincère, au cas où mon frère m'entendrait, et car je ne pouvais tout simplement pas parler de ma famille.

« J'ai connu pire, mais c'est gentil de poser la question. »

Ah, apparemment il me trouvait fatiguée ou épuisée ? Je ne me maquillais pas vraiment et je ne savais pas si j'avais des cernes ou si j'avais rougis ou si ma peau était pâle... Je paniquais alors un peu plus, tremblotant toujours mais serrant les poings pour éviter de trop le montrer. Je ne pus m'empêcher de "souffler du nez" comme pour rire à sa remarque. Ils étaient partis, au moins. Même si c'était déplaisant à un haut point, et que je savais que j'y penserai sans doutes toute la journée. Les week-end étaient les pires moments pour travailler ici. Mais j'étais obligée de le faire.

« On ne choisit pas ses clients malheureusement... et certains d'eux connaissent des membres de ma famille, donc je ne peux pas non plus répondre ce que je veux. Je le fais quand j'en ai l'occasion. Le respect est différent ici, en Amérique... Enfin, comme je suis européenne - italienne - je ne suis pas toujours très habituée à voir certains comportements sembler "normaux" aux yeux des gens. »

Mais il me semblait qu'il avait lui aussi un accent, mais je n'étais pas une experte. J'imaginais qu'il m'en parlerait s'il en avait envie... Mais ça m'intriguait aussi du coup. J'entendis un gros bruit sourd en arrière boutique et sursautais, posant ma main aussitôt sur ma bouche pour me retenir de crier, au cas où. J'avais adopté ce réflexe avec le temps. Une fois le choc passé, au bout de quelques secondes je retirais ma main et soupirais. J'écoutais toujours le garçon qui me parlait, et je trouvais finalement ça très gentil de sa part de s'intéresser à ce qui pouvait bien m'arriver.

« Ne t'en fais pas, ça devrait aller. On a juste quelques soucis avec une commande, mais mon frère s'en occupe. »

J'avais baissé le ton de ma voix en disant cela, comme si pour la première fois de ma vie, je racontais quelque chose d'un peu secret à quelqu'un. J'avais presque l'impression de m'être déjà totalement trahie, et je me redressais aussitôt, remarquant que je m'étais approchée du visage du garçon pour lui parler. Je saluais un nouveau client avant que Fynn ne se présente. Fynn, ça me disait bien quelque chose ! Je souris de nouveau en approuvant d'un signe de tête.

« Fynn, c'est vrai. J'ai un peu de mal à retenir encore tous les prénoms... Moi c'est Graziella. Tu vis près d'ici ? Je crois que je ne t'avais jamais vu encore à la boutique. Enfin, ici. »

J'entendis ensuite des insultes en italien puis soudainement, un grand silence. Mon coeur se mit à battre de plus en plus vite et je ravalais la boule qui venait se serrer dans ma gorge avec difficulté avant de faire semblant de me tourner pour chercher quelque chose dans la caisse... Je jetais un rapide coup d'oeil en direction de l'arrière boutique et vis un homme à genoux par terre. Je me retournais aussitôt, essayant de dissimuler la peur qui pouvait sans doutes se trahir à travers mon regard, puis je regardais Fynn de nouveau.

« Excuse-moi, je crois que je dois aller signer un papier pour la commande. Je reviens. »

Je me retournais un peu précipitamment en planquant rapidement le couteau sous la caisse dans ma manche, et je me dirigeais dans l'arrière boutique. Je vis alors mon frère avec un pistolet sur la tempe, face à moi, l'homme de dos. Il était en train de parler au type et je sentis qu'il m'avait aperçue, mais il ne bougea pas le regard. Je me rapprochais doucement du type, le coeur serré, puis sans faire exprès, je me coupais avec la lame du couteau en serrant mes poings, et je laissais échapper un petit bruit de douleur, ce qui attira l'attention du type qui pointa son arme sur moi, permettant à mon frère de l'assommer ensuite avec un coup de poing. En tous cas, le type semblait assommé... Mon frère se rapprocha ensuite de moi et me saisit la main en récupérant le couteau qu'il mit dans sa poche. Il me regarda avec dégoût un instant, comme si j'avais fait foiré quelque chose. Ne comprenant pas la situation, je me mis à pleurer silencieusement, essayant de retenir mes larmes, de peur que quelques instants plus tôt, mon frère se prenne une balle en pleine tête. Alors que j'ouvris la bouche pour expliquer pourquoi j'étais intervenue, il me gifla et me prit la main où du sang coulait, comme pour afficher "mes" erreurs à moi. Puis il me relâcha, cracha sur le sol et se recoiffa les cheveux en arrière avant de récupérer l'arme du type sur le sol.

« Arrête... Si tu fais quelque chose, tout le monde va entendre, on a des clients... »

Je ne pouvais pas commenter la gifle ni quoi que ce soit d'autre, il me demanda "simplement" en italien de faire ce pourquoi j'étais là et de la fermer. Enervée, je m'éloignais, me frottant légèrement les yeux pour essuyer les larmes rapidement, et je retournais à la caisse en attrapant un mouchoir pour essuyer le sang qui coulait sur ma main et tâchait déjà un peu la manche de mon pull. La coupure était sur le poignet, mais je ne pouvais pas aller me rincer en arrière boutique. Je n'étais pas la bienvenue. Je fixais un instant la caméra présente dans la boutique avec un regard noir, sachant que seul mon père avait accès à la surveillance, avec ses hommes de mains. Il n'en avait pas beaucoup ici, mais ils me connaissaient bien. Un client s'imposa alors sur la caisse avec ses articles et demanda également un sachet pour que je lui emballe toutes ses affaires. Gênée, je ne pouvais pas mettre de sang sur ce qu'il achetait ou sur le sac... Aussi, je lançai aussitôt un regard à Fynn, comme un appel au secours visuel.

« Est-ce-que tu peux emballer les articles pendant que je les encaisse, s'il te plait ? »
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Mer 17 Oct - 20:24
Invité
Invité
Anonymous
Faut dire qu’elle avait pas de chance la pauvre. Que du connard. Voilà pourquoi je me pointe pas dans des épiceries le weekend, ça attire les cons. Enfin si dans la catégorie cons on y incluse les alcoolos alors je serais probablement à moitié con ! Enfin bref, au moins, elle m’assura qu’elle allait bien et qu’elle était touchée que je m’inquiète.

« T’as connu pire ? Super, ça donne pas trop envie ce délire ! Y’a pas de soucis t’en fais pas ! J’espère juste que c’est pas comme ça tous les weekend parce que sinon bonjour le fun ! »

Elle m’expliqua ensuite deux trois petites choses sur elle alors que je l’écoutais attentivement, en oubliant presque ce pour quoi j’étais venu. Qui l’aurait cru ?

« Tu viens d’Italie ? Cool ! Moi je suis d’origine irlandaise. Perso à force je commence à m’habituer à tout… C’est triste j’te l’avoue mais bon comme tu dis, on choisit pas ! »

J’entendais un bruit retentir quelque part dans le bâtiment mais je décidais d’y faire abstraction afin de garder ma camarade concentrée sur mes mots, pour évacuer ses émotions. Je ne sais pas vraiment si ce fut concluant mais au moins j’avais le mérite d’avoir essayé !

« Ah tu as un frère ? Un grand frère je présume. »

J’essayais d’y voir plus clair afin de pouvoir mieux cerner cette fille. Elle avait cependant quasi chuchoté cette phrase sans que je puisse trouver une explication à cela.

« Graziella ? En effet, tu es bien italienne haha. Pour tout te dire, j’ai pas l’habitude de venir dans des épiceries. Là j’ai dû passer parce que j’avais besoin de deux trois trucs en urgence. »

Les bruits se répétaient mais j’essayais une fois de plus de les ignorer bien qu’ils deviennent plus insistants et menaçants d’après leur nature. Puis, je sentis Graziella paniquée. Elle m’avoua précipitamment qu’elle avait une urgence mais je voyais bien en elle un sentiment de peur. Comme si quelque chose allait arriver sans qu’elle ne puisse agir. Quelque chose de tramait. Peut être avait-elle mal géré quelque chose ou bien peut être qu’elle a oublié de faire parvenir des informations sur la boutique à son frère. Quoi qu’il en soi, le temps passa et je n’étais pas serein.
Je la vis ensuite revenir, les paupières gonflées et rouges comme si des larmes avaient été versées. Puis, en examinant ses mains et avant bras je vis une coupure. Elle était fraîche alors je me demandais si elle s’était blessée en ouvrant un colis ou quoi que ce soit. Je restais cependant méfiant à cause d’une atmosphère pesante et peu sereine. Graziella, voyant que j’avais vu sa blessure me demanda fébrilement de l’aider, ce que je fis instantanément.

« Bien sûr t’en fais pas. »

Je jetais quand même un coup d’œil sur elle de temps en temps pendant que je m’attelais à mon petit service. Une fois fini, j’attendais que le client parte. Je chuchotais alors à Graziella pour que personne ne m’entende.

« Comment tu t’es fait ça ? Et c’est quoi ces bruits depuis tout à l’heure ? Désolé d’être curieux mais je trouvais juste ça bizarre »

Je la fixais dans les yeux afin d'augmenter mes chances d'avoir une réponse de sa part.
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