Complètement en galère pour avancer au milieu de ce regroupement d'humains, Charlie fut plus que satisfait de voir que la personne qu'il essayait de rejoindre se mettait également en route vers sa direction. Ils se retrouvèrent quasiment à mi-chemin de leurs points de départ respectifs, et purent se saluer.
- Hi Charles, ça fait plaisir de te voir ici. Enfin, j'imagine que tu comprends ce que je veux dire. Ricana doucement le blondinet infiltré, avant de répondre à sa question. J'allais plutôt bien avant que tout ceci n'arrive, mais on dirait qu'on a pas trop le choix. Et toi, comment va ?
Tout à sa joie de retrouver quelqu'un qu'il connaissait au milieu de ce regroupement farfelu et bruyant d'inconnus, Charlie avait eu une légère tendance à oublier de s'enquérir de ce que pouvaient tramer les autres personnes. Aussi n'avait-il pas vu le rouquin présent foncer dans la grotte sans prendre le temps de regarder ses pieds. Maintenant il semblait blessé, si l'ancien écossais en croyait le gémissement de douleur qu'il poussa avant de clarifier la situation. Il saignait bel et bien.
Pour une fois, l'étudiant en arts et ses petites manies seraient utiles ! D'un geste, Charlie fit tomber sa sacoche à terre et se pencha pour l'ouvrir et fouiller dedans avec une certaine frénésie. Parfait, il avait au moins quelques compresses... et malheureusement plus de strips. Enfin, c'était déjà ça de pris. Le kit parfait pour se rafistoler lui-même allait exceptionnellement servir à quelqu'un d'autre. D'un pas hésitant, il se rapprocha de l'étudiant à terre, et lança un appel à la cantonade.
- Personne n'a un foutu mode "lampe torche" sur son portable, qu'on y voit un peu plus clair que dans un cul ?
Ven 31 Mai - 16:30
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Sans qu'il ne se l'avoue, Charles était bien content de tomber sur Charlie, et il lui paraissait que la joie était réciproque. Il haussa vaguement les épaules, observant aux alentours les arbres jusqu'à perte de vue puis s'intéressa de nouveau au bout de ses chaussures pleines de boue.
- Ca va super. Je me promenais au hasard, et comme tu peux voir, je suis aussi perdu que vous.
Il tenait plutôt droit, mais n'importe que être humain dôté d'un odorat pouvait sentir le léger fumet de Rhum que son manteau arborait. ll se frotta les yeux et vit pour la première fois la grotte dans laquelle ils allaient s'enfoncer pour se protéger de la pluie. La pluie ne le dérangeait pas, aussi tenta-t-il de décrotter ses semelles avant d'y pénétrer, comme s'il s'agissait de l'appartement de quelqu'un - sans grand succès. Seulement, un éclair de cheveux roux le dépassa en trombe, suivi d'une autre silhouette, et l'une des deux tomba en avant dans un comique de situation qui fit glousser Charles, une main devant la bouche.
- Et après on dit que c'est moi qui suis ivre, hein, souffla-t-il à Charlie avant d'entrer à sa suite dans la grotte.
Apparemment, Charlie avait tout un nécessaire à recoudre les imbéciles dans son sac. Observant la scène d'un peu plus loin (Charles n'était pas fan de la vue du sang), il se décida d'allumer une cigarette avec une allumette humide, ce qui se révéla plutôt difficile. Lorsqu'il parvint à incendier le petit bâton à cet effet, une auréole de lumière baigna la grotte. Des ombres s'amusèrent instantanément à danser sur les murs. Charlie cherchait une lumière, aussi, dans une idée brillante et très peu utile, le jeune homme approcha son allumette pour lui offrir un peu de lumière, jusqu'à ce qu'il doive la secouer pour éviter de brûler ses doigts.
- Désolé, stupide idée. J'ai rien de mieux.
Ven 31 Mai - 22:59
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Sans passer par d'autres chemins, la charmante femme se mit à lui remonter les bretelles, ce qui eut le mérite de lui tirer un regard de chiot jeté sur une autoroute, ainsi qu'une moue des plus réprobatrices. Mallory fronça le nez, l'air de se demander s'il s'agissait d'une belle blague, et lâcha un rire discret qui ne le fut sans doute pas tant que ça. Langue tirée, colorée par ses bonbons tous plus chimiques les uns que les autres, il haussa les épaules avec un air fataliste, et lâcha d'une voix enjouée : -Sauf votre respect, je suis diplômé depuis bien longtemps, m'dame, alors épargnez-moi vos remontrances, je vous prie ?
Il n'avait pas quitté son petit timbre de voix chantant, vite brisé lorsque Connor vint s'effondrer à leurs pieds, et il l'aida comme il le pouvait à se redresser, yeux brillants en prime, et non sans lui signaler qu'il allait finir par se tuer avec ses bêtises. Sans nul doute était-il un peu devin, dans le fond, car il n'en fallut pas davantage pour que le premier accident advienne, et l'aîné retrouva vite son camarade sur le sol, avec la jambe en compote et un cri qui se répercutait sur les parois. Mallory eut le bon esprit de le rejoindre en deux foulées, afin de s'assurer qu'il soit entier. -Bon sang, mais jamais tu fais gaffe ? Un cas, j'te jure ! T'arrives à bouger ? S'enquit-il avec un début d'inquiétude dans la voix, mais il fut vite soulagé d'entrevoir quelqu'un qui arrivait à la rescousse.
Il leva des yeux empreints de reconnaissance vers le duo qui s'était avancé, et puisqu'ils semblaient avoir de quoi faire, il se recula pour leur laisser la place d'agir. Il resta déphasé l'espace d'une seconde, avant de ricaner un peu, tout en détaillant les deux sauveurs avec intérêt. Deux blonds, jeunes, évidemment. Avec un kit de secouriste pour l'un, des allumettes à l'agonie pour l'autre. -T'y verras toujours plus clair que dans un cul, ne put-il pas s'empêcher de préciser, avant de reprendre du sérieux : J'ai. Dis-moi simplement où éclairer, mon beau, et j'm'en charge.
Il s'appliqua à sortir son portable d'une poche sans fond de sa veste colorée, et laissa le flash éclairer le sol et les murs, battant des cils pour s'accoutumer à la lueur, et il baissa enfin les yeux vers son ami écorché. Il ne s'était, il fallait bien l'admettre, pas raté. Mallory songea tout de suite à lui faire cadeau de guêtres. De protèges-genoux. Voir d'une armure intégrale. Puisqu'il n'était guère plus utile qu'un lampadaire, pour l'heure, il se contenta donc de détailler les gars qui l'entouraient.
Dim 2 Juin - 16:23
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Je ne pris même pas la peine de considérer Mallory, dont la totale ignorance était tout ce qu'il méritait. Je n'avais pas de temps à perdre avec un gamin jouant les malins. De toute manière, le roux qui était malheureusement présent avec nous s'écorcha bêtement le genou, ce qui me priva de toute intervention. « A s'agiter comme ça voilà ce qui arrive... » pensais-je en fixant la paroi de la grotte en face de moi. J'étais las, j'avais envie de partir d'ici et de laisser ses idiots se débrouiller tout seul. Le temps de quelques minutes, le masque était tombé, entraîné par la pluie. Je n'étais pas d'humeur à faire des efforts. La fatigue jouait en ma défaveur. Pourtant, un regard dans ma direction de la part de l'un des étudiants me fit comprendre que je devais faire semblant un minimum de m'inquiéter. C'était le rôle qu'on attendait de moi après tout et je ne tenais pas à installer des doutes dans leur tête.
Je m'approchais alors du petit groupe qui s'était formé autour de Connor, prenant délicatement la cigarette de la bouche de Charles avant de l’écraser contre le mur. « Ce n'est pas le moment de nous asphyxier ! » lui dis-je gentiment en affichant un semblant de sourire pour amorcer le tout. Après quoi, je m'accroupis près du blessé, penchant sur lui la lampe torche de mon portable. La blague de Mallory m'irrita, si bien que je ne pus m'empêcher d'ouvrir la bouche « Remarque très pertinente Monsieur le Diplômé. Mais j'aurais plutôt pris comme exemple l'absence de cerveau dans votre crâne qui doit le rendre plus sombre qu'un cul! ».
A présent que ce charmant jeune homme avait été remis à sa place, j'observais Charlie s'occuper de Connor. Voyant qu'il avait l'air de maîtriser la situation, je me contentais de lui faire de la lumière, le regardant faire tout en me surprenant à sourire d'une façon qui aurait pu passer pour de la tendresse. Le rouquin étant hors de danger, je me redressais, le laissant se relever. « Je vais voir où est passé Samuel...Ceux qui ne veulent pas s'aventurer plus profondément dans la grotte peuvent rester en retrait. Les autres...Faites juste attention où vous mettez les pieds je vous prie ! » précisais-je en jetant un regard en coin à Connor.
Vous êtes bien à l’abri dans la grotte. Mais Samuel est a disparu. Samuel avait pris la tête du groupe, c’est lui qui avait pointé l’entrée de la présumée tanière de BigFoot. Et maintenant, plus rien. Silence radio. Plusieurs minutes s’écoulent avant que le concierge ne fasse à nouveau son apparition. A bout de souffle, il revient de l’intérieur de la grotte, ses lunettes tordue et ses genoux éraflés.
- Bi… Bigfoot… il est là… il nous attend, il… Il faut rentrer à l’académie, il est énervé. Il n’aime pas qu’on envahisse son territoire. Ecoutez !
Samuel se tait et résonnent dans la grotte comme un écho. Est-ce le vent qui souffle ? Ou une voix qui chante ? Qu’allez vous faire :
- Poursuivre votre chemin vers les entrailles de la grottes ? - Rester ici jusqu’à ce que la tempête se calme ?
Le choix est vôtre. Mais n’oubliez pas. Chaque choix aura ses conséquences.
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Mer 5 Juin - 11:25
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Dans toute la grandeur de sa tentative échouée, Charles agita la main en signe de défaite pour éteindre l'allumette, une fois qu'il en vit son inefficacité, et qu'il l'avait utilisé pour allumer sa cigarette. Cigarette qui ne resta pas longtemps intact, car Madeleine débarqua de nul part et la lui prit de la bouche sans aucune hésitation pour l'écraser sans pitié contre le mur de la grotte. Excédé, Charles enfonça ses mains dans les poches de son manteau et se détourna de la professeur pour analyser le reste du décor. Privé de nicotine, il entreprit de se ronger un ongle.
La grotte était plutôt spacieuse. À ses côtés, il y avait le joyeux luron qui l'avait envoyé bouler avec ses allumettes (il était plus efficace avec la lampe torche de son téléphone, certes), le bouffon qui s'était éclaté par terre et qui chouinait à présent comme un chiot abandonné, et Charlie à son chevet, l'air toujours aussi sérieux qu'à son habitude. Charles shoota dans un caillou et se détourna à nouveau. Les autres restaient plus ou moins en retrait et notre jeune protagoniste, bien heureux de pouvoir redevenir invisible, se fondit avec prouesse avec les murs de la grotte et aborda le rôle très prisé de plante décorative.
Alors même qu'il se décidait de ne plus tenter d'aider d'aucune manière que ce soit, un type déboula dans la grotte, l'air un peu hystérique, les yeux exorbités. Il déblatéra quelques drôles de paroles, à propos d'un certain Bigfoot donc Charles n'avait jamais entendu parler. Il le répéta pour lui-même, adossé à la parois sale de la grotte.
- Bigfoot. C'est qui Bigfoot ? demanda-t-il à mi-voix à qui voulait bien l'entendre.
Peut-être que quelqu'un par ici pouvait l'éclairer. Quand l'illuminé terrifié se tut enfin, il résonna dans la grotte une sorte de souffle chaud qui fit lever des têtes et tendre des oreilles. Charles n'entendait rien. De toute façon, il était trop désorienté pour penser correctement.
Mer 5 Juin - 19:36
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Décidément j'avais une bonne équipe à mes côtés ! Tout le monde se rapprocha de moi et un blondinet - ou une blondinette - vint m'aider tandis qu'un autre tenta d'éclairer ma plaie avec son allumette, finalement devancé par Mallory qui éclaira ma blessure avec sa lampe torche portable. Très utile ces gadgets du quotidien et autres applications ! Ça faisait bondidiou mal mine de rien. Heureusement, le garçon à mon chevet pansa la plaie et m'aida à empêcher davantage le sang de couler. Fier de cet exploit qui était le sien, je le remerciais sincèrement avec un grand sourire et un "merci beaucoup tu es trop le meilleur avec Mallory" puis j'entendis Madame Prout s'énerver et se rapprocher de nous, visiblement avec un ras-le-bol du groupe, ou bien de Samuel. Samuel qui débarqua soudain, nous annonçant que Bigfoot nous attendait, qu'il fallait rentrer à Blackwell. IL NOUS ATTENDAIT ! Je me redressais de mon mieux, maintenant que la plaie était soignée au mieux, je m'accrochais à Mallory et à mon sauveteur pour me relever et m'appuyer sur eux deux.
- Ainsi donc, Bigfoot nous attend ! Ne le faisons pas trop patienter !
Puis le blondinet qui avait voulu fumer demanda (honteusement) qui était Bigfoot.
- Bigfoot ? BIGFOOT ? C'est une créature légendaire qui existe, puisque Samuel l'a vu et que nous sommes dans sa grotte !
Jeu 4 Juil - 11:53
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Depuis que nous étions entrés dans cette grotte, j'avais durement fait gagner le calme général, bien que celui-ci était sur une ligne fragile. L'arrivée soudaine de Samuel compromit mes efforts. Roulant dans ses yeux dans sa direction, je priais mentalement pour qu'il garde sa bouche fermée. Mais ce n'était pas mon jour de chance. Trébuchant sur les mots, le concierge se mit à parler d'un Big Foot en train de nous attendre et qu'il fallait retourner à l'Académie.
« Sortez un parapluie de votre arrière-train et peut-être que l'on pourra partir d'ici ! » criais-je au pauvre Samuel sur un ton à la fois fatigué et irrité, regrettant qu'il ne se soit pas fait bouffer par ce fameux Big Foot. Cela nous aurait fait des vacances.
Bien que c'était mon rôle de maintenir le calme et de montrer l'exemple à ces jeunes, je n'étais plus d'humeur à jouer les bonnes samaritaines naïve et loufoque. Je saisis Samuel par le bras et le força à s'asseoir dans un coin.
« Vous, ne bougez plus d'ici, c'est compris ?! » lui ordonnais-je d'un ton menaçant avant de me tourner vers les étudiants. Certains ne semblaient pas très rassurés à l'idée de rester dans cette grotte. Pourtant, nous n'avions pas le choix : c'était notre seul abris. Malgré moi, je devais prendre une décision. « Je vais aller inspecter la grotte afin de vous prouver qu'il n'y a rien à craindre ! » leur annonçais-je avant de jeter un regard noir à Samuel. « Déjà que c'est un bon à rien, voilà qu'il ne m'a pas facilité la tâche... » pensais-je en imaginant le plaisir que cela me procurerait de l'étrangler. « Certains d'entre vous veulent venir avec moi ? »
Après avoir effectué sur Connor les premiers soin de base qu'il maîtrisait, Charlie commença à ne pas se sentir très bien. Peut-être était-ce une simple coïncidence car il ne s'était pas nourri depuis quelques heures déjà. Ou plus certainement était-ce dû à la vue de tout ce sang, une quantité qu'il n'avait jamais observé auparavant. Il fallait dire que soigner autrui n'était pas la même chose que de réparer ses propres petites plaies. Là il avait la santé d'un autre entre ses mains frêles et il n'était pas tout à fait certain de se sentir capable de l'assurer. Et petit à petit la réalisation de toute cette hémoglobine qui tâchait ses mains le fit se sentir nauséeux. Du coton rempli sa caboche et il bascula sur côté, en tentant dans un élan de conscience de ne pas s'écraser sur le blessé qui se portait déjà mieux puisqu'il était capable de parler. Ses paupières se firent lourdes et il bascula totalement dans les ténèbres, inconscient des échos qui se frayaient toujours un chemin dans son crâne.
Tout occupé à être une faible chose dans son malaise vagal, Charlie ne sortit de son état d'hébétement que plus tard, alors que tous étaient en train de parler d'un certain Bigfoot. Qu'est-ce que c'était encore ... Il ouvrit la bouche pour poser une question mais réalisa qu'il s'en fichait royalement. Tout ce qu'il souhaitait était partir d'ici et retrouver un lit, ou un canapé, ou même un simple tapis sur lequel s'allonger et dormir pour oublier cette soirée de l'horreur. Lorsque Madeleine Proust annonça qu'elle allait visiter la grotte pour prouver qu'il n'y avait pas de danger et qu'elle demanda s'il y avait des volontaires il faillit lui faire un doigt d'honneur mais se contenta de cracher d'un ton quelque peu mordant.
- Je crois que j'en ai assez fait et vu pour aujourd'hui...
Jeu 18 Juil - 17:17
Tobanga
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Localisation : Près des dortoirs Prescott
Emploi/loisirs : Totem
Humeur : Spirituelle
Cet événement sera géré par Teddy Scott.
Dans les entrailles de la grotte : La grotte est sombre heureusement, grâce à la technologie vous pouvez vous éclairer. Mais c’est loin d’être suffisant. Heureusement pour vous, il n’y a qu’un chemin. Tout du moins, vous n’en voyez qu’un et suivez ce dernier. Une odeur de pourriture commence à chatouiller vos narines. Et soudainement, sur un mur, une longue trace rouge, comme si une main avait tenté d'agripper la paroi. La trace continue, s’enfonce encore dans la grotte. Et c’est à cet instant que vos lumières commencent à grésiller avant de s’éteindre totalement. Pourtant il vous semble qu’il y a une petite lueur dans le fond de la grotte.
- Vous faites demi-tour et retournez à l’entrée de la grotte. - Vous continuez votre trajet dans le noir. (3 points chacun) - Grâce à vos connaissances vous réussissez à fabriquer une torche (10 points chacun)
Le choix est vôtre. Mais n’oubliez pas. Chaque choix aura ses conséquences.
L’entrée de la grotte : Samuel a décidé de rester avec vous. Terrorisé, il reste dans un coin, recroquevillé et ne bouge plus. Il commence à faire froid. De temps à autre, une bourrasque de vent arrive à s’engouffrer dans la grotte. Et des bruits étranges se font entendre. Vous pensiez que c’était le sifflement du vent ? Mais que nenni ! A présent vous entendez des notes et elles semblent être de plus en plus forte et soudainement une nouvelle bourrasque de vent vous agresse, ramenant avec elle une branche d’une taille plutôt conséquente avec elle.
Pas de choix cette fois-ci. Cependant, Tobanga va vous demander de faire un jeté de dé échec/réussite. Vous pouvez aussi refuser de jeter le dé, mais dans ce cas, Tobanga vous en fera payer les conséquences.
Echec : Vous avez réussi à vous carapater dans un coin et à éviter les dégâts. Réussite : Bravo ! Vous n’avez rien vu venir et vous vous prenez une branche énorme dans la figure ! Bonjour les commotions, j’espère que vous avez une bonne assurance.
