Revenir en haut Aller en bas



AccueilRechercherDernières imagesMembresS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -20%
(Adhérents Fnac) Enceinte Bluetooth Marshall ...
Voir le deal
199.99 €

Feelings I can't fight (Peter)

 :: Les RP terminés Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Jeu 23 Aoû - 0:40
Invité
Invité
Anonymous
Feelings I can't fight


   grande icone  
 
Les paroles de Peter me vont droit au coeur. C'est vrai qu'en dehors de ma famille, personne ne savait vraiment ma "formation" et les boulots que j'avais eu. Puis je faisais confiance à Peter justement, aussi je préférais lui dire maintenant, au lieu d'attendre. Bon, ça devait peut-être surprendre, mais c'était tout de même assez banal. Puis quant à la bougie, j'ignorais si c'était psychologique. La tante de Peter semblait suffisamment bien s'y connaître, quand même... enfin, elle marcherait surtout si nous étions allés plus loin. Ou y allions. Après avoir parlé, Peter en profita pour m'embrasser, ce qui ne me déplut aucunement, bien au contraire. Il était calme, doux et soucieux. J'appréciais sa douceur et sa gentillesse. Il rompt ensuite le baiser, et on se regarde. Je réalise qu'il fait un peu plus chaud depuis quelques minutes, et que je me sens vraiment à l'aise et bien. Je me met alors à sourire aux dires de Peter. J'y avais vaguement pensé, comme pour la définition de notre relation, d'un point de vue général, en arrivant. Je réfléchissais, admettant que certains mots faisaient peut-être "adolescents", puis il rajouta le mot "femme" et sans pouvoir m'en empêcher, je souris encore plus. L'idée de devenir un jour la femme de Peter était simplement... je n'y avais jamais pensé, ou même songé que je pourrais éventuellement me marier un jour. Mais avec Peter, j'imaginais un présent et un futur où tout était possible. Et cette éventualité me plaisait énormément. Puis tout à coup, une voix se fit entre, et je sursautais en même temps que Peter, puis je poussais un cri en voyant une tête nous observer par la fenêtre. En regardant bien, il s'agissait de Meg. Je soupirai alors, rassurée, n'ayant même pas remarqué que la fenêtre était ouverte. Elle venait nous parler de la coupure d'électricité, et d'u certain Paul qui en avait marre de venir dépanner la maison ou le quartier... J'ignorais quelle heure il était, mais dans un sens, je pouvais comprendre. Sauf que c'était son boulot à Paul quand même, fallait pas déconner non plus ! Puis tante Meg fit une remarque sur la bougie, et resta là avec le même grand sourire qu'à son arrivée. « Paul devrait avoir honte... Vos... rituels se sont bien passés ? Et désolée pour le cri, avec la coupure d'électricité, ça m'a juste surprise. Oh et pour la bougie et... » « Oh mais ce n'est rien voyons ! Paul finira bien par venir, quoi qu'il arrive... et tout se passe bien ! Même très bien d'après ce que je peux voir ! » Elle fit une pause en nous scrutant quelques instants avant de reprendre. « Oh et félicitations ! Vous savez comment ça se passe pour la suite ? Seule la bougie suffira, n'utilisez surtout rien d'autre, sinon ça ne vous aidera pas suffisamment... Quant au sexe du bé... »

La conversation, bien qu'intéressante, était également un peu gênante. Je fis mine de sentir une araignée sur moi pendant qu'elle parlait, en me levant du canapé et en paniquant. « UNE ARAIGNEE ! ELLE M'A POURSUIVIE DEPUIS L'ETAGE ! » Puis tante Meg garda son sourire avant de nous dire quelques mots, avant de s'éclipser, de façon un peu étrange et.. mystique ? C'était un drôle de personnage cette femme-là. Puis suite à son départ, je me rassis normalement sur le canapé. « Il n'y avait pas d'araignée. Pardon. J'ai paniqué. » Après ce moment gênant, je me relevai pour vérifier que tante Meg ne soit pas cachée derrière une fenêtre, ayant peur de revoir quelqu'un débarquer - une araignée même - puis je retournais vers Peter, en me penchant vers lui, son visage entre mes mains, pour l'embrasser. Je fis durer le baiser quelques instants avant de me retrouver avec mes bras autour de son cou, et je me retrouvais finalement sur lui, mes jambes de chaque côté des siennes, m'appuyant un peu sur lui pour continuer le baiser. J'ignorais si ça venait de mon envie, de ce que dégageait Peter, de la bougie ou de ce que je ressentais pour lui, mais j'avais besoin de cette proximité et de ce contact. J'en avais besoin. Puis au bout d'un moment, je rompis le baiser, restant dans cette proximité, reprenant mon souffle. « J'ai l'impression que je vais avoir du mal à me détacher de toi désormais. Tu dois avoir hérité de quelques "pouvoirs" de ta tante. » Je reculais légèrement la tête, un sourire en coin. Qu'est-ce-qu'il était beau, surtout de près. C'était fou la façon de "rompre" cette distance qu'il y avait eu juste avant cette soirée, entre nous, et de voir à quel point tout semblait naturel désormais. Absolument tout. Puis je me mis à rire en repensant aux paroles de tante Meg. « S'il n'y avait pas eu cette araignée imaginaire, on aurait pu savoir si on était destinés à avoir une fille ou un garçon... »
made by guerlain for bazzart
Revenir en haut Aller en bas
Ven 24 Aoû - 0:24
Invité
Invité
Anonymous
Feelings I can't fight


   grande icone  
 
« Merci. Merci d’avoir fait ça. Désolé, ma tante a passé trop de temps dans des cultures différentes, je pense qu’elle a oublié ce qui se fait et ce qui ne se fait pas... » Même si de base elle a toujours été un peu farfelue. Enfin, de ce que j’ai vu. Même si quand on est enfant, on n’a pas les mêmes critères pour ce genre de chose. Depuis combien de temps elle était à la fenêtre ? Est-ce qu’elle serait capable de nous attendre dans la chambre ? … Ou alors… est-ce que c’est elle qui a coupé manuellement le courant ? Rien ne me dit qu’il existe réellement, ce Paul. D’ailleurs, Ophelia semble avoir le même fil de penser, parce qu’elle se lève vérifier aux fenêtres. « Tu sais quoi, ferme la fenêtre, ça vaut mieux... »

Je ne peux pas m’empêcher de la regarder en la voyant se déplacer. (De la mater, en fait, mais c’est pas très délicat à dire, et reluquer c’est encore pire, parce que ça fait vieillot en plus, alors voilà.) Je suppose que nos humeurs respectives sont les mêmes, parce qu’Ophelia vient m’embrasser et se mettre littéralement sur moi. Je ne sais pas réellement où on va ce soir, ou plutôt à quel point on y va, mais si elle continue de s’appuyer sur cette partie-là de mon corps, il va y avoir une réponse physique immédiate et potentiellement gênante pour moi. (Oui, tout comme « mater », dire « érection », ce n’est pas particulièrement classe). Et ça n’a rien à voir avec la bougie. D’ailleurs, je n’y pense plus, à cette bougie. Parce que ça voudrait dire penser à ma tante, à son intervention, et je n’en ai absolument pas envie.

Je souris à ce qu’elle dit et je regarde, comme pour mémoriser son visage. Sauf que je le connais parfaitement, j’y pense depuis des jours. C’est marrant, j’ai le sentiment que tout va bien se passer. Que nous allons rester ensemble le plus longtemps possible. C’est une idée un peu bête, dit comme ça, mais ça n’a rien à voir avec une illusion d’adolescent naïf. C’est plus un pressentiment. Je le lui en parlerai, un jour – mais pas maintenant. C’est trop tôt pour tout ça.

Je ris à la mention de l’apparition de tante Meg, parce que ça m’amuse, mais aussi pour cacher une pointe de nervosité. Pas à l’idée d’avoir des enfants, mais à l’idée de ce que pense Ophelia de tout ça. Meg aurait pu lui faire peur à parler déjà de tout ça. « Et peut-être même savoir son animal totem, son orientation sexuelle et ses peurs et rêves les plus fous. Enfin après c’est pas toujours… Eh mais si ! Tout à l’heure, enfin avant que tu viennes, Meg m’a fait une prédiction, comme quoi elle avait vu une blonde dans mon avenir. Sur le coup j’étais pas vraiment en train de l’écouter, parce que… Bah parce que, justement, j’étais en train de penser à toi à ce moment là. Enfin. Oui, si, je peux le dire maintenant. Ca m’est arrivé souvent ces derniers temps, même si je suis souvent dans la lune – enfin non, c’est que je suis trop concentré sur quelque chose. Je disais quoi ? C’est ça, tante Meg qui t’a vu dans ma vie. Je sais pas trop par quel biais. Je parle trop. »

Je parle trop oui, mais Ophelia est toujours assise sur moi, et ça me plait beaucoup beaucoup trop et donc, il faut que je parle. Sauf que maintenant, je choisis de ne plus parler, et je l’embrasse à nouveau. Il fait très, très chaud, et ce n’est pas parce qu’on a fermé la fenêtre. Mes lèvres toujours contre les siennes, je passe mes bras autour d’elle, puis glisse une main sur sa cuisse, l’autre dans son dos, sans vraiment m’en rendre compte. Enfin si, mais c’est la chaleur du moment. Le baiser est plus haletant, plus désordonné, et plus addictif. Je ne vais pas trop loin non plus, je préfère voir comment elle réagit. Mais je ne peux pas cacher mon désir pour elle maintenant, mais à la réflexion, ce n’est pas si grave que ça.



made by guerlain for bazzart
Revenir en haut Aller en bas
Ven 24 Aoû - 2:03
Invité
Invité
Anonymous
Feelings I can't fight


   grande icone  
 
Il fallait admettre qu'on se sentait un peu plus en sécurité, maintenant que la fenêtre était fermée... Enfin, cela n'empêchait pas de nous voir, même malgré la coupure de courant. Je me demandais ce que faisait Paul en cet instant précis... En tous cas, ce que je faisais moi était beaucoup plus intéressant et... passionnant. Peter me répond alors vis-à-vis de sa tante et de ses prédictions. Quelque part, j'étais sûre qu'il avait raison... Elle aurait sûrement pu nous en dire beaucoup à ce sujet, et en même temps, je connaissais Peter et me connaissait suffisamment bien pour savoir que... normalement, oui. Nous aurions au moins un enfant, un jour. Un petit mélange de nous deux. A cette pensée je souris encore plus, les yeux brillants, puis j'entendis ce qu'il me dit par rapport à Meg qui avait en quelques sortes "prévue" que je serai dans l'avenir de Peter. C'était moi la blonde. Evidemment. A moins qu'une fille un peu aventureuse et suicidaire ne daigne s'approcher de lui. Il était à moi. Avec moi. Hm. Il rajouta qu'il pensait à moi lorsqu'elle lui parlait, et rien que cette pensée me mit encore plus de baume au coeur. Je ressentais littéralement l'amour que j'éprouvais pour le professeur de théâtre. Pour Peter. Mais en plus de ça, il avait cette attraction physique, toujours aussi présente, et de plus en plus forte. Plus nous commencions quelque chose, plus je ressentais le besoin d'aller encore plus loin. « Au moins on fera des économies en conseils, pas besoin de plus que les secrets de Meg pour savoir ce qu'on veut savoir... Même si je pense qu'on peut se débrouiller assez bien sans aucune aide extérieure... » Peter m'embrassa ensuite, et alors que je sens son bras dans mon dos, je ressens un frisson lorsqu'il glisse sa main sur ma jambe. C'est assez proche de... c'est proche. Et ça ne me dérange absolument pas. Quelque part, j'imaginais que j'avais attendu ce moment, sans savoir qu'il aurait lieu avec Peter, depuis très longtemps. Sentant que tout s'agitait encore plus au fond de moi, je commençais à passer mes mains sous le pull de Peter, avant de commencer à le lui retirer, n'hésitant pas à remettre ses mains où elles se trouvaient quelques secondes avant. Je regarde un instant ce que j'ai sous les yeux et me met à rire. « On peut dire que je suis gâtée, décidément. » Puis je l'embrasse dans le cou et en haut du torse avant de revenir vers sa bouche, approfondissant notre baiser, à notre rythme, me perdant dans notre étreinte amoureuse. Puis finalement, je finis seulement par espérer que la lumière ne revienne pas et que personne ne reviendrait nous interrompre. Maintenant, c'était simplement nous deux, ici, sur ce canapé, et visiblement, avec cette bougie.
made by guerlain for bazzart
[/quote]
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 3 sur 3Aller à la page : Précédent  1, 2, 3

Sauter vers :
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Life is Strange :: Les RP terminés-